Aperçu d'une diguette filtrante (SOME I. Justine)

Diguette filtrante (Burkina Faso)

Kabakourou Walandéni (Dioula)

Description

La diguette filtrante est une technologie de conservation des eaux et des sols construite dans un cours d’eau à écoulement temporaire, un bas-fond ou un axe de drainage. Elle est réalisée au moyen de moellons de différentes tailles.

La diguette filtrante se construit à travers d’une ravine dans un sol érodé, dans des bas-fonds ou des drains /petits cours d’eau saisonniers/ temporaires, au sein des régions à climat sahélien et sud soudanien avec une pluviométrie moyenne annuelle comprise entre 400 à 1100 mm.

C'est un ouvrage antiérosif construit sur une courbe de niveau perpendiculaire à des traces de ruissellement pour réduire sa vélocité et énergie érosive. Elle est constituée d’un assemblage de moellons ou pierres avec une crête disposée horizontalement de 50 cm de hauteur sur une largeur 150 cm. Utilisée dans le but de lutter contre l’érosion hydrique des sols, la diguette filtrante dissipe l’énergie des eaux et contribue à la sédimentation en amont de la diguette contribuant ainsi à l'origine du terrassement du terrain pour diminuer la pente et augmenter l’infiltration des eaux de surface dans le sol.

Une diguette peut être partie intégral d’un cordon en pierre à l’endroit où l’eau de ruissellement s’accumule et on doit éviter le travail du sol pour créer un passage stable pour l’eau de ruissellement qui peut être aussi végétalisé (avec des graminées pérennes pour stabiliser le ravine/cours d’eau).

En général, l’espacement entre diguettes le long d’un cours d’eau ou d’une ravine est de 20 m.

Les principales étapes nécessaires à sa réalisation sont:
1. l'implantation
•déterminer une courbe de niveau à l'aide du niveau à eau ;
•matérialiser la courbe par le traçage à l'aide de daba, pic, pioche, dent IR12 en traction bovine, tracteur, piquet, etc. ;
•lisser si nécessaire cette courbe pour atténuer les éventuelles irrégularités de son tracé;
•tendre une ficelle en travers de la ravine à l'emplacement choisi lors de l'identification technique du site ;
•placer des piquets aux deux rives ;
•mesurer et matérialiser 50 cm de hauteur sur ces piquets par des encoches (hauteur de la diguette).

2. la détermination de l’emprise
•placer les piquets à une distance de trois fois la hauteur de 50 cm pour obtenir l’emprise de la diguette qui sera de 150 cm ;
•d’autres piquets sont également fixés à l’aval (2 à 4 m) en face de chaque projection mais gradués cette fois-ci à 20 cm pour avoir la pente ;
•avec une corde, positionner au niveau des mesures faites sur les piquets, encercler tous les points.

3. le déblai de la tranchée d’ancrage
•nettoyer toute la surface délimitée sur le sol ;
•ouvrir un sillon d'ancrage de 20 cm de profondeur sur toute la surface délimitée par la corde en prenant soin de jeter la terre à l’aval de la diguette.

4. la pose des moellons
•remplir de gravier ou de cailloux pourris le déblai sur une épaisseur de 20 cm environ et bien ajuster ;
•disposer une rangée de grosses pierres en amont, puis les pierres moyennes sur les autres rangées en évoluant vers l’aval ;
•boucher les interstices ;
•déposer une deuxième couche de moellons en prévoyant une pente amont de 1/1 (vertical) et une pente aval de 1 / 2 jusqu’à obtenir la hauteur recherchée de la diguette qui est de 50 cm ;
•construire le bord de l’ouvrage avec de grosses pierres déposées dans une tranchée ouverte à l’aval pour la stabilisation.

Dans un champ agricole cette technologie doit être accompagnée par le labour suivant les courbes de niveau (perpendiculaire à la pente), pour réduire les risques d’érosion et de ruissellement accélérés.

Les diguettes ont pour avantages de contrôler le ruissellement, limiter l’érosion, favoriser l’infiltration, conserver l’humidité du sol, contribuer à la réalimentation de la nappe phréatique et augmenter le stock d’eau dans le sol. Elles combattent la dégradation des terres en provoquant à l'amont une augmentation de l'infiltration de l'eau et une sédimentation de sables, argiles et débris organiques. La conservation de l’eau et la rétention des sédiments fertiles par les diguettes facilitent le développement d’une végétation naturelle le long des ouvrages et par conséquent un rétablissement de la biodiversité et une protection des ouvrages. Bien que sa mise en œuvre soit pénible pour les exploitants des terres, ces derniers reconnaissent qu'elle permet de lutter contre l’érosion hydrique et conserver le sol et l’eau.

Lieu

Lieu: Sébédougou (Commune de Koumbia), Hauts-Bassins, Province du Houet, Burkina Faso

Nbr de sites de la Technologie analysés: 2-10 sites

Géo-référence des sites sélectionnés
  • -3.65584, 11.2734

Diffusion de la Technologie: appliquée en des points spécifiques ou concentrée sur une petite surface

Dans des zones protégées en permanence ?: Non

Date de mise en oeuvre: 2020

Type d'introduction
Vue longitudinale d'une diguette filtrante (ABOU Moussa)

Classification de la Technologie

Principal objectif
  • améliorer la production
  • réduire, prévenir, restaurer les terres dégradées
  • préserver l'écosystème
  • protéger un bassin versant/ des zones situées en aval - en combinaison avec d'autres technologies
  • conserver/ améliorer la biodiversité
  • réduire les risques de catastrophes
  • s'adapter au changement et aux extrêmes climatiques et à leurs impacts
  • atténuer le changement climatique et ses impacts
  • créer un impact économique positif
  • créer un impact social positif
L'utilisation des terres
Les divers types d'utilisation des terres au sein du même unité de terrain: Oui - Agroforesterie

  • Terres cultivées
    • Cultures annuelles: céréales - maïs, céréales - mil, cultures de plantes à fibres - coton
    Nombre de période de croissance par an: : 1
    Est-ce que les cultures intercalaires sont pratiquées? Non
    Est-ce que la rotation des cultures est appliquée? Oui
Approvisionnement en eau
  • pluvial
  • mixte: pluvial-irrigué
  • pleine irrigation

But relatif à la dégradation des terres
  • prévenir la dégradation des terres
  • réduire la dégradation des terres
  • restaurer/ réhabiliter des terres sévèrement dégradées
  • s'adapter à la dégradation des terres
  • non applicable
Dégradation des terres traité
  • érosion hydrique des sols - Wt: perte de la couche superficielle des sols (couche arable)/ érosion de surface, Wg: ravinement/ érosion en ravines
Groupe de GDT
  • mesures en travers de la pente
Mesures de GDT
  • structures physiques - S2: Diguettes, digues

Dessin technique

Spécifications techniques
•Détermination d’une courbe de niveau à l'aide du niveau à eau ;
•Reportage de 03 fois la hauteur de 50 cm sur les piquets en aval du piquet pour obtenir l’emprise de la diguette qui sera de 150 cm.
•Fixation de piquets à l’aval en face de chaque projection mais gradués cette - fois-ci à 20 cm pour avoir la pente ;
•Ouverture d’un sillon d'ancrage de 20 cm de profondeur sur toute la surface délimitée par la corde en prenant soin de jeter la terre à l’aval de la diguette ;
•Pose des moellons.
Author: ProSol
Détermination des courbes de niveau
Author: ProSol
Implantation de la diguette filtrante
Author: ProSol
Délai de la tranchée d'ancrage de la diguette filtrante
Author: ProSol
Pose du tapis filtrant de la diguette filtrante
Author: ProSol
Pose des moellons
Author: ProSol

Mise en œuvre et entretien : activités, intrants et coûts

Calcul des intrants et des coûts
  • Les coûts sont calculés : par entité de la Technologie (unité : Mètre linéaire)
  • Monnaie utilisée pour le calcul des coûts : sans objet
  • Taux de change (en dollars américains - USD) : 1 USD = 613.5
  • Coût salarial moyen de la main-d'oeuvre par jour : 4333,67 FCFA/mètre linéaire
Facteurs les plus importants affectant les coûts
Les facteurs les plus importants affectant les coûts sont la proximité des moellons et la disponibilité de la main d'œuvre.
Activités de mise en place/ d'établissement
  1. Implantation (Calendrier/ fréquence: Saison sèche)
  2. Détermination de l’emprise (Calendrier/ fréquence: Saison sèche)
  3. Déblai de la tranchée d’ancrage (Calendrier/ fréquence: Saison sèche)
  4. Pose des moellons (Calendrier/ fréquence: Saison sèche)
Intrants et coûts de mise en place (per Mètre linéaire)
Spécifiez les intrants Unité Quantité Coûts par unité (sans objet) Coût total par intrant (sans objet) % des coût supporté par les exploitants des terres
Main d'œuvre
Implantation Ml 1,0 166,67 166,67
Ouverture des tranchées et construction Ml 1,0 4166,67 4166,67
Equipements
Coûts du petit matériel Ml 1,0 833,33 833,33
Matériaux de construction
Achat de moellons Ml 1,0 10000,0 10000,0
Autre
Frais de suivi Ml 1,0 555,56 555,56
Frais de coordination Ml 1,0 277,78 277,78
Coût total de mise en place de la Technologie 16'000.01
Coût total de mise en place de la Technologie en dollars américains (USD) 26.08
Activités récurrentes d'entretien
  1. Activité d'entretien de la diguette (Calendrier/ fréquence: Avant la saison des pluies)
Intrants et coûts de l'entretien (per Mètre linéaire)
Spécifiez les intrants Unité Quantité Coûts par unité (sans objet) Coût total par intrant (sans objet) % des coût supporté par les exploitants des terres
Autre
Entretien et réparation de la diguette Ml 1,0 555,56 555,56 100,0
Coût total d'entretien de la Technologie 555.56
Coût total d'entretien de la Technologie en dollars américains (USD) 0.91

Environnement naturel

Précipitations annuelles
  • < 250 mm
  • 251-500 mm
  • 501-750 mm
  • 751-1000 mm
  • 1001-1500 mm
  • 1501-2000 mm
  • 2001-3000 mm
  • 3001-4000 mm
  • > 4000 mm
Zones agro-climatiques
  • humide
  • subhumide
  • semi-aride
  • aride
Spécifications sur le climat
Précipitations moyennes annuelles en mm : 900.0
Le climat de la région des Hauts-Bassins dont relève le village de Sébédougou (commune de Koumbia) est tropical de type nord-soudanien et sud soudanien. Ce climat est marqué par deux (02) grandes saisons : une saison humide qui dure 06 à 07 mois (mai à octobre/novembre) et une saison sèche qui s'étend sur 05 à 06 mois (novembre/décembre à avril). La pluviométrie annuelle est relativement abondante et comprise entre 800 et 1200 mm.
Nom de la station météorologique : Poste pluviométrique de Koumbia
Les températures moyennes varient entre 24°c et 30°c avec une amplitude thermique relativement faible de 5°c.
Pentes moyennes
  • plat (0-2 %)
  • faible (3-5%)
  • modéré (6-10%)
  • onduleux (11-15%)
  • vallonné (16-30%)
  • raide (31-60%)
  • très raide (>60%)
Reliefs
  • plateaux/ plaines
  • crêtes
  • flancs/ pentes de montagne
  • flancs/ pentes de colline
  • piémonts/ glacis (bas de pente)
  • fonds de vallée/bas-fonds
Zones altitudinales
  • 0-100 m
  • 101-500 m
  • 501-1000 m
  • 1001-1500 m
  • 1501-2000 m
  • 2001-2500 m
  • 2501-3000 m
  • 3001-4000 m
  • > 4000 m
La Technologie est appliquée dans
  • situations convexes
  • situations concaves
  • non pertinent
Profondeurs moyennes du sol
  • très superficiel (0-20 cm)
  • superficiel (21-50 cm)
  • modérément profond (51-80 cm)
  • profond (81-120 cm)
  • très profond (>120 cm)
Textures du sol (de la couche arable)
  • grossier/ léger (sablonneux)
  • moyen (limoneux)
  • fin/ lourd (argile)
Textures du sol (> 20 cm sous la surface)
  • grossier/ léger (sablonneux)
  • moyen (limoneux)
  • fin/ lourd (argile)
Matière organique de la couche arable
  • abondant (>3%)
  • moyen (1-3%)
  • faible (<1%)
Profondeur estimée de l’eau dans le sol
  • en surface
  • < 5 m
  • 5-50 m
  • > 50 m
Disponibilité de l’eau de surface
  • excès
  • bonne
  • moyenne
  • faible/ absente
Qualité de l’eau (non traitée)
  • eau potable
  • faiblement potable (traitement nécessaire)
  • uniquement pour usage agricole (irrigation)
  • eau inutilisable
La qualité de l'eau fait référence à: à la fois les eaux souterraines et de surface
La salinité de l'eau est-elle un problème ?
  • Oui
  • Non

Présence d'inondations
  • Oui
  • Non
Diversité des espèces
  • élevé
  • moyenne
  • faible
Diversité des habitats
  • élevé
  • moyenne
  • faible

Caractéristiques des exploitants des terres appliquant la Technologie

Orientation du système de production
  • subsistance (auto-approvisionnement)
  • exploitation mixte (de subsistance/ commerciale)
  • commercial/ de marché
Revenus hors exploitation
  • moins de 10% de tous les revenus
  • 10-50% de tous les revenus
  • > 50% de tous les revenus
Niveau relatif de richesse
  • très pauvre
  • pauvre
  • moyen
  • riche
  • très riche
Niveau de mécanisation
  • travail manuel
  • traction animale
  • mécanisé/ motorisé
Sédentaire ou nomade
  • Sédentaire
  • Semi-nomade
  • Nomade
Individus ou groupes
  • individu/ ménage
  • groupe/ communauté
  • coopérative
  • employé (entreprise, gouvernement)
Genre
  • femmes
  • hommes
Âge
  • enfants
  • jeunes
  • personnes d'âge moyen
  • personnes âgées
Superficie utilisée par ménage
  • < 0,5 ha
  • 0,5-1 ha
  • 1-2 ha
  • 2-5 ha
  • 5-15 ha
  • 15-50 ha
  • 50-100 ha
  • 100-500 ha
  • 500-1 000 ha
  • 1 000-10 000 ha
  • > 10 000 ha
Échelle
  • petite dimension
  • moyenne dimension
  • grande dimension
Propriété foncière
  • état
  • entreprise
  • communauté/ village
  • groupe
  • individu, sans titre de propriété
  • individu, avec titre de propriété
Droits d’utilisation des terres
  • accès libre (non organisé)
  • communautaire (organisé)
  • loué
  • individuel
Droits d’utilisation de l’eau
  • accès libre (non organisé)
  • communautaire (organisé)
  • loué
  • individuel
Accès aux services et aux infrastructures
santé

pauvre
x
bonne
éducation

pauvre
x
bonne
assistance technique

pauvre
x
bonne
emploi (par ex. hors exploitation)

pauvre
x
bonne
marchés

pauvre
x
bonne
énergie

pauvre
x
bonne
routes et transports

pauvre
x
bonne
eau potable et assainissement

pauvre
x
bonne
services financiers

pauvre
x
bonne

Impact

Impacts socio-économiques
Production agricole
en baisse
x
en augmentation

qualité des cultures
en baisse
x
en augmentation

dépenses pour les intrants agricoles
en augmentation
x
en baisse

revenus agricoles
en baisse
x
en augmentation

Impacts socioculturels
sécurité alimentaire/ autosuffisance
réduit
x
amélioré

situation sanitaire
détérioré
x
amélioré

connaissances sur la GDT/ dégradation des terres
réduit
x
amélioré

Impacts écologiques
ruissellement de surface
en augmentation
x
en baisse

nappes phréatiques/ aquifères
en baisse
x
rechargé

humidité du sol
en baisse
x
en augmentation

couverture du sol
réduit
x
amélioré

perte en sol
en augmentation
x
en baisse

matière organique du sol/ au dessous du sol C
en baisse
x
en augmentation

couverture végétale
en baisse
x
en augmentation

impacts des inondations
en augmentation
x
en baisse

impacts de la sécheresse
en augmentation
x
en baisse

Impacts hors site
disponibilité de l’eau (nappes phréatiques, sources)
en baisse
x
en augmentation

inondations en aval (indésirables)
en augmentation
x
réduit

Analyse coûts-bénéfices

Bénéfices par rapport aux coûts de mise en place
Rentabilité à court terme
très négative
x
très positive

Rentabilité à long terme
très négative
x
très positive

Bénéfices par rapport aux coûts d'entretien
Rentabilité à court terme
très négative
x
très positive

Rentabilité à long terme
très négative
x
très positive

La technologie ne nécessite quasiment pas d'entretien, mais des activités de surveillance.

Changement climatique

Changements climatiques progressifs
températures saisonnières augmente

pas bien du tout
x
très bien
Saison: saison sèche

Adoption et adaptation de la Technologie

Pourcentage d'exploitants des terres ayant adopté la Technologie dans la région
  • cas isolés/ expérimentaux
  • 1-10%
  • 11-50%
  • > 50%
Parmi tous ceux qui ont adopté la Technologie, combien d'entre eux l'ont fait spontanément, à savoir sans recevoir aucune incitation matérielle ou aucun paiement ?
  • 0-10%
  • 11-50%
  • 51-90%
  • 91-100%
La Technologie a-t-elle été récemment modifiée pour s'adapter à l'évolution des conditions ?
  • Oui
  • Non
A quel changement ?
  • changements/ extrêmes climatiques
  • évolution des marchés
  • la disponibilité de la main-d'œuvre (par ex., en raison de migrations)

Conclusions et enseignements tirés

Points forts: point de vue de l'exploitant des terres
  • Freine la vitesse de l’eau de ruissellement
  • Prévient l'érosion
  • Favorise le comblement des ravines
  • Récupère les terres dégradées par le dépôt de limons
Points forts: point de vue du compilateur ou d'une autre personne-ressource clé
  • Permet une meilleure infiltration de l’eau à l’amont de l’ouvrage en vue d’une meilleure valorisation agricole et une augmentation des superficies cultivables
  • Capte l'eau pour une alimentation additionnelle des cultures
  • Accroit les rendements agricoles
Faiblesses/ inconvénients/ risques: point de vue de l'exploitant des terrescomment surmonter
  • Difficultés de transport des moellons Poursuivre les appuis aux exploitants
Faiblesses/ inconvénients/ risques: point de vue du compilateur ou d'une autre personne-ressource clécomment surmonter

Références

Compilateur
  • Moussa ABOU
Editors
  • Siagbé Golli
  • Brice Sosthène BAYALA
  • Tabitha Nekesa
  • Ahmadou Gaye
Examinateur
  • Sally Bunning
  • Rima Mekdaschi Studer
  • William Critchley
Date de mise en oeuvre: 16 mars 2023
Dernière mise à jour: 20 mai 2024
Personnes-ressources
Description complète dans la base de données WOCAT
Données de GDT correspondantes
La documentation a été facilitée par
Institution Projet
Références clés
  • Recueil des pratiques agro-écologiques éprouvées et mises en œuvre au Burkina Faso, Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique, 2020: Disponible sur internet
  • Catalogue de fiches techniques des mesures d’amélioration de la fertilité des sols, Projet « Réhabilitation et protection des sols dégradés et renforcement des instances foncières locales dans les zones rurales du Burkina Faso » (ProSol), 2020: Disponible à ProSol-Burkina Faso
  • Catalogue des mesures CES/DRS promues par le ProSol, 2020: Disponible à Prosol-Burkina Faso
  • Diagnostic sur les sites d’extension de quatre (04) micros bassins versants au profit du ProSol, Projet « Réhabilitation et protection des sols dégradés et renforcement des instances foncières locales dans les zones rurales du Burkina Faso » (ProSol), 2020: Disponible à Prosol-Burkina Faso
  • Étude sur l’analyse coûts-bénéfices et économiques des mesures CES/DRS promues par ProSol, Projet « Réhabilitation et protection des sols dégradés et renforcement des instances foncières locales dans les zones rurales du Burkina Faso » (ProSol), 2020: Disponible à ProSol-Burkina Faso
  • Réalisation d’un diagnostic de l’état des ressources naturelles et de la gestion foncière dans les régions du Sud-Ouest et des Hauts-Bassins au Burkina Faso, Projet « Réhabilitation et protection des sols dégradés et renforcement des instances foncières locales dans les zones rurales du Burkina Faso » (ProSol), 2015: Disponible à ProSol-Burkina Faso
  • Catalogue de bonnes pratiques d’adaptation aux risques climatiques au Burkina Faso, UICN/ Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, 2011: Disponible sur internet
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