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Technologies
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Revêtement des canaux d’irrigation [Mali]

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Revêtement des canaux d’irrigation (French)

technologies_1651 - Mali

État complet : 80%

1. Informations générales

1.2 Coordonnées des personnes-ressources et des institutions impliquées dans l'évaluation et la documentation de la Technologie

Personne(s)-ressource(s) clé(s)

Spécialiste GDT:
Spécialiste GDT:

Traore Minamba

tbaminan@gmail.com

IICEM

Mali

Nom du projet qui a facilité la documentation/ l'évaluation de la Technologie (si pertinent)
Manual of Good Practices in Small Scale Irrigation in the Sahel (GIZ )
Nom du ou des institutions qui ont facilité la documentation/ l'évaluation de la Technologie (si pertinent)
Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) GmbH (GIZ) - Allemagne

1.3 Conditions relatives à l'utilisation par WOCAT des données documentées

Quand les données ont-elles été compilées (sur le terrain)?

01/07/2012

Le compilateur et la(les) personne(s) ressource(s) acceptent les conditions relatives à l'utilisation par WOCAT des données documentées:

Oui

1.4 Déclaration sur la durabilité de la Technologie décrite

Est-ce que la Technologie décrite ici pose problème par rapport à la dégradation des terres, de telle sorte qu'elle ne peut pas être déclarée comme étant une technologie de gestion durable des terres?

Non

2. Description de la Technologie de GDT

2.1 Courte description de la Technologie

Définition de la Technologie:

Le revêtement des canaux assure une forte économie de l’eau d’irrigation par une minimisation des pertes par infiltration, les heures et les coûts de pompage.

2.2 Description détaillée de la Technologie

Description:

Les canaux principaux en terre des périmètres irrigués sont revêtus en béton sur les radiers, en agglos pleins sur les côtés latéraux espacés de potelets en béton avec un couronnement en
béton; cela sur une longueur de maximal de 2 000 m par canal principal. Les sorties du canal principal vers les canaux secondaires sont aménagés en ciment et équipées de vannettes pour l’ouverture et fermeture au besoin.L’aval de chaque sortie est protégé par une structure d’enrochement jusqu’à la limite du ressaut pour éviter la dégradation des digues au début des canaux secondaires.

Le revêtement est surtout utilisé sur des sites existants pour augmenter leur efficience.Après le revêtement des canaux, les rendements sont augmentés de 35 % à 80 %. Ceci s’explique par le fait que les cultures reçoivent l’eau nécessaire à leur maturité et en fonction de leurs besoins. Le revêtement permet souvent une extension de la superficie irriguée. Les heures de pompage par hectare sont considérablement réduites (moins 25 % en saison de pluies) car les canaux assurent une bonne répartition de l’eau d’irrigation. Par conséquent, les coûts d’irrigation par tonne de production sont réduits par la réduction du coût de pompage, le coût d’entretien périodique et une augmentation du rendement.

Ensemble avec les producteurs, un protocole d’accord est élaboré avec l’IICEM puis signé par le maire. Le protocole décrit toutes les activités faisant objet de collaboration entre l’IICEM et les différents bénéficiaires. Les travaux sont exécutés soit en entreprise, soit font l’objet de mesures à haute intensité de main d’œuvre (HIMO).a) Travaux en entreprise (clé en main): 1)Recensement des sites à revêtir.Il s’agit de situer les sites à aménager, très souvent en prenant attache avec les ONG représentant le projet dans les régions, avec les Directions Régionales du Génie Rural ou des opérateurs économiques travaillant avec les organisations paysannes concernées.2)Lancement d’appel d’offre pour les études techniques. Les sites circonscrits et retenus fond l’objet d’études techniques confiées à des bureaux d’ingénieur-conseil recrutés par appel d’offres ouvert suivant les TdR des études à mener. 3)Exécution des études techniques.Les études techniques de faisabilité concerneront les études topographiques, géotechniques, pédologiques, environnementales ainsi que l’élaboration d’un plan d’aménagement et la quantification des matériaux entrant dans la construction.4)Établissement des DAO et lancement de l’appel d’offres pour les entreprises.Un DAO tenant lieu de TdR est établi par le projet en fonction des besoins sur le site. Il est ensuite publié afin de permettre aux bureaux d’études intéressés de soumettre leur offre. 5)Exécution des travaux sous la supervision d’un bureau de contrôle. Les travaux sont réalisés sous le contrôle et la supervision d’un bureau de contrôle pour assurer la faisabilité des travaux suivant les règles de l’art.b)Mesures à HIMO :1)Recensement des sites.Même procédé qu’en entreprise.2)Prise des levés topographiques pour le calage des ouvrages.Les levés topographiques sont effectués par des spécialistes de l’IICEM pour mesurer la cote de calage des canaux afin d’assurer une submersion des parcelles sur une grande superficie.3)Étude de quantification des matériaux de construction.Après calage des ouvrages (bassin de dissipation et de répartition,canaux principaux et prise de canaux secondaire, rigole), un plan des ouvrages est dressé sur la base de métrés établis permettant la quantification des matériaux et matériels nécessaires à la construction.4)Recrutement des maçons, briquetiers et ferrailleurs.Des équipes de maçons, de préférence locaux, sont recrutées pour les travaux de revêtement. Les équipes de maçons sont composées de maîtres maçons, ferrailleurs, briquetiers et topographes.5)Appel d’offres pour fourniture des matériaux et équipements.La fourniture des matériaux et matériels pour chaque site est assurée par le recrutement d’un fournisseur de matériaux et matériels de construction à travers d’un appel d’offres lancé à cet effet.6)Main d’œuvre et participation paysanne.Seuls les maçons sont payés par le projet. La main d’œuvre est assurée par la population qui bénéficie d’un repas de midi afin de renforcer leur motivation et d’éviter les pertes de temps par le déplacement des ouvriers.7)Formation en conduite de chantier de la main d’œuvre villageoise.Au sein des villages candidats à l’aménagement, des relais villageois sont créés et formés pour la conduite d’un chantier de revêtement de canaux et la tenue des cahiers de chantier.Une fois les travaux de revêtement terminés, l’IICEM fournit un Groupe Motopompe (GMP) et subventionne le carburant et les consommables pendant une campagne. Une formation relative
à la bonne marche et l’entretien des GMP est donnée aux groupes moto-pompistes des populations bénéficiaires pour renforcer leur capacité en gestion des groupes motopompes.

2.3 Photos de la Technologie

2.5 Pays/ région/ lieux où la Technologie a été appliquée et qui sont couverts par cette évaluation

Pays:

Mali

Région/ Etat/ Province:

Mali

Autres spécifications du lieu:

Mopti, Timbuktu, Gao, Sikasso

2.6 Date de mise en œuvre de la Technologie

Si l'année précise est inconnue, indiquez la date approximative: :
  • il y a moins de 10 ans (récemment)

2.7 Introduction de la Technologie

Spécifiez comment la Technologie a été introduite: :
  • par le biais de projets/ d'interventions extérieures
Commentaires (type de projet, etc.) :

This kind of practice has been carried out by IICEM since 2009.

3. Classification de la Technologie de GDT

3.1 Principal(aux) objectif(s) de la Technologie

  • améliorer la production
  • préserver l'écosystème

3.2 Type(s) actuel(s) d'utilisation des terres, là où la Technologie est appliquée

Terres cultivées

Terres cultivées

  • Cultures annuelles
Mixte (cultures/ pâturages/ arbres), incluant l'agroforesterie

Mixte (cultures/ pâturages/ arbres), incluant l'agroforesterie

  • Agro-pastoralisme
  • Sylvo-pastoralisme
Commentaires:

Major land use problems (compiler’s opinion): unequal distribution of irrigation water, ineffective irrigation systems (water loss)

3.3 Informations complémentaires sur l'utilisation des terres

Approvisionnement en eau des terres sur lesquelles est appliquée la Technologie:
  • mixte: pluvial-irrigué
Nombre de période de croissance par an: :
  • 1
Précisez:

120 jours, Août-Novembre

Densité d'élevage/ chargement (si pertinent):

1-10 LU /km2

3.4 Groupe de GDT auquel appartient la Technologie

  • pastoralisme et gestion des pâturages
  • gestion de l'irrigation (incl. l'approvisionnement en eau, le drainage)
  • dérivation et drainage de l'eau

3.5 Diffusion de la Technologie

Commentaires:

Total area covered by the SLM Technology is 12 m2.

Around 50 sites covering approximately 1200 hectares have had their canals lined

3.6 Mesures de GDT constituant la Technologie

structures physiques

structures physiques

  • S3: Fossés étagés, canaux, voies d'eau

3.7 Principaux types de dégradation des terres traités par la Technologie

érosion hydrique des sols

érosion hydrique des sols

  • Wr: érosion des berges
dégradation chimique des sols

dégradation chimique des sols

  • Cn: baisse de la fertilité des sols et réduction du niveau de matière organique (non causée par l’érosion)
dégradation biologique

dégradation biologique

  • Bc: réduction de la couverture végétale
dégradation hydrique

dégradation hydrique

  • Ha: aridification
Commentaires:

sur–détournement / retrait excessif de l’eau (pour l’irrigation, l’industrie, etc.) comme causes

3.8 Prévention, réduction de la dégradation ou réhabilitation des terres dégradées

Spécifiez l'objectif de la Technologie au regard de la dégradation des terres:
  • prévenir la dégradation des terres
  • réduire la dégradation des terres

4. Spécifications techniques, activités, intrants et coûts de mise en œuvre

4.1 Dessin technique de la Technologie

Auteur:

Minamba Traore, IICEM

4.2 Spécification/ explications techniques du dessin technique

Les canaux principaux en terre des périmètres irrigués sont revêtus en béton sur les radiers,
en agglos pleins sur les côtés latéraux espacés de potelets en béton avec un couronnement en
béton ; cela sur une longueur de maximal de 2 000 m par canal principal. Les sorties du canal
principal vers les canaux secondaires sont aménagés en ciment et équipées de vannettes pour
l’ouverture et fermeture au besoin. L’aval de chaque sortie est protégé par une structure d’enrochement jusqu’à la limite du ressaut pour éviter la dégradation des digues au début des canaux secondaires.

Technical knowledge required for field staff / advisors: fort
Technical knowledge required for land users: faible
Main technical functions: récupération de l’eau / augmentation des réserves d’eau, épandage des eaux

4.3 Informations générales sur le calcul des intrants et des coûts

autre/ monnaie nationale (précisez):

CFA Franc

Indiquer le taux de change du dollars en monnaie locale (si pertinent): 1 USD= :

512,0

4.4 Activités de mise en place/ d'établissement

Activité Type de mesures Calendrier
1. Recensement des sites à revêtir Structurel
2. Lancement d’appel d’offre pour les études techniques/Prise des levés topographiques pour le calage des ouvrages Structurel
3. Exécution des études techniques/Étude de quantification des matériaux de construction Structurel
4. Établissement des DAO et lancement de l’appel d’offres pour les entreprises/Recrutement des maçons, briquetiers et ferrailleurs Structurel
5. Exécution des travaux sous la supervision d’un bureau de contrôle/Appel d’offres pour fourniture des matériaux et équipements Structurel
6. Main d’œuvre et participation paysanne Structurel
7. Formation en conduite de chantier de la main d’œuvre villageoise Structurel

4.6 Activités d'entretien/ récurrentes

Activité Type de mesures Calendrier/ fréquence
1. des petites réparations sont faites régulièrement Structurel

4.8 Facteurs les plus importants affectant les coûts

Décrivez les facteurs les plus importants affectant les coûts :

Une cinquantaine de sites d’environ 1 200 ha a bénéficié du revêtement. Coûts totaux: 1,587,865.50 US Dollar

5. Environnement naturel et humain

5.1 Climat

Précipitations annuelles
  • < 250 mm
  • 251-500 mm
  • 501-750 mm
  • 751-1000 mm
  • 1001-1500 mm
  • 1501-2000 mm
  • 2001-3000 mm
  • 3001-4000 mm
  • > 4000 mm
Zone agro-climatique
  • semi-aride

5.2 Topographie

Pentes moyennes:
  • plat (0-2 %)
  • faible (3-5%)
  • modéré (6-10%)
  • onduleux (11-15%)
  • vallonné (16-30%)
  • raide (31-60%)
  • très raide (>60%)
Reliefs:
  • plateaux/ plaines
  • crêtes
  • flancs/ pentes de montagne
  • flancs/ pentes de colline
  • piémonts/ glacis (bas de pente)
  • fonds de vallée/bas-fonds
Zones altitudinales:
  • 0-100 m
  • 101-500 m
  • 501-1000 m
  • 1001-1500 m
  • 1501-2000 m
  • 2001-2500 m
  • 2501-3000 m
  • 3001-4000 m
  • > 4000 m

5.3 Sols

Profondeur moyenne du sol:
  • très superficiel (0-20 cm)
  • superficiel (21-50 cm)
  • modérément profond (51-80 cm)
  • profond (81-120 cm)
  • très profond (>120 cm)
Texture du sol (de la couche arable):
  • moyen (limoneux)
  • fin/ lourd (argile)
Matière organique de la couche arable:
  • moyen (1-3%)
  • faible (<1%)

5.4 Disponibilité et qualité de l'eau

Profondeur estimée de l’eau dans le sol:

5-50 m

Disponibilité de l’eau de surface:

moyenne

Qualité de l’eau (non traitée):

uniquement pour usage agricole (irrigation)

5.5 Biodiversité

Diversité des espèces:
  • moyenne

5.6 Caractéristiques des exploitants des terres appliquant la Technologie

Sédentaire ou nomade:
  • Sédentaire
Orientation du système de production:
  • mixte (de subsistance/ commercial)
Revenus hors exploitation:
  • 10-50% de tous les revenus
Niveau relatif de richesse:
  • pauvre
  • moyen
Niveau de mécanisation:
  • travail manuel
Genre:
  • hommes
Indiquez toute autre caractéristique pertinente des exploitants des terres:

Population density: < 10 persons/km2
Annual population growth: 2% - 3%
10% sont riche.
50% sont moyen.
30% sont pauvre.
10% sont très pauvre.

5.7 Superficie moyenne des terres détenues ou louées par les exploitants appliquant la Technologie

  • < 0,5 ha
  • 0,5-1 ha
  • 1-2 ha
  • 2-5 ha
  • 5-15 ha
  • 15-50 ha
  • 50-100 ha
  • 100-500 ha
  • 500-1 000 ha
  • 1 000-10 000 ha
  • > 10 000 ha
Cette superficie est-elle considérée comme de petite, moyenne ou grande dimension (en se référant au contexte local)?
  • petite dimension

5.8 Propriété foncière, droits d’utilisation des terres et de l'eau

Commentaires:

Les terres irriguées sont allouées par le chef

5.9 Accès aux services et aux infrastructures

santé:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
éducation:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
assistance technique:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
emploi (par ex. hors exploitation):
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
marchés:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
énergie:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
routes et transports:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
eau potable et assainissement:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
services financiers:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne

6. Impacts et conclusions

6.1 Impacts sur site que la Technologie a montrés

Impacts socio-économiques

Production

production agricole

en baisse
en augmentation

risque d'échec de la production

en augmentation
en baisse

surface de production

en baisse
en augmentation
Revenus et coûts

charge de travail

en augmentation
en baisse

Impacts socioculturels

sécurité alimentaire/ autosuffisance

réduit
amélioré

apaisement des conflits

détérioré
amélioré

Impacts écologiques

Cycle de l'eau/ ruissellement

quantité d'eau

en baisse
en augmentation

récolte/ collecte de l'eau

réduit
amélioré

6.2 Impacts hors site que la Technologie a montrés

flux des cours d'eau fiables et stables en saison sèche

réduit
en augmentation

pollution des rivières/ nappes phréatiques

en augmentation
réduit

sédiments (indésirables) transportés par le vent

en augmentation
réduit

6.3 Exposition et sensibilité de la Technologie aux changements progressifs et aux évènements extrêmes/catastrophes liés au climat (telles que perçues par les exploitants des terres)

Changements climatiques progressifs

Changements climatiques progressifs
Saison Type de changements/ extrêmes climatiques Comment la Technologie fait-elle face à cela?
températures annuelles augmente bien

Extrêmes climatiques (catastrophes)

Catastrophes météorologiques
Comment la Technologie fait-elle face à cela?
pluie torrentielle locale pas bien
tempête de vent locale bien
Catastrophes climatiques
Comment la Technologie fait-elle face à cela?
sécheresse bien
Catastrophes hydrologiques
Comment la Technologie fait-elle face à cela?
inondation générale (rivière) pas bien

Autres conséquences liées au climat

Autres conséquences liées au climat
Comment la Technologie fait-elle face à cela?
réduction de la période de croissance pas connu

6.4 Analyse coûts-bénéfices

Quels sont les bénéfices comparativement aux coûts de mise en place (du point de vue des exploitants des terres)?
Rentabilité à court terme:

légèrement négative

Rentabilité à long terme:

légèrement positive

Quels sont les bénéfices comparativement aux coûts d'entretien récurrents (du point de vue des exploitants des terres)?
Rentabilité à court terme:

légèrement positive

Rentabilité à long terme:

très positive

6.5 Adoption de la Technologie

Commentaires:

Le revêtement est un investissement qui est généralement possible qu'avec l'aide extérieure.
Le revêtement des canaux des systèmes d’irrigation de Mopti, Tombouctou, Gao et Sikasso a été fait. Une cinquantaine de sites d’environ 1 200 ha a bénéficié du revêtement. Ce type de pratique est appliqué par l’IICEM depuis 2009.

6.7 Points forts/ avantages/ possibilités de la Technologie

Points forts/ avantages/ possibilités du point de vue du compilateur ou d'une autre personne ressource clé
Le revêtement des canaux assure une forte économie de l’eau d’irrigation par une minimisation des pertes par infiltration.
Les heures et les coûts de pompage sont ainsi fortement réduits par une répartition rapide des doses d’irrigation. L’utilisation réduite des motopompes permet des économies des coûts d’entretien.
Les rendements sont augmentés de 35 % à 80 %. Le revêtement permet souvent une extension de la superficie irriguée.
Une formation relative à la bonne marche et l’entretien des GMP est donnée aux groupes moto-pompistes des populations bénéficiaires pour renforcer leur capacité en gestion des groupes motopompes. En plus, une formation en gestion et entretien des périmètres est également organisée au bénéfice du
comité de pilotage des organisations paysannes.
La durée de vie est de 10 à 20 ans si des petites réparations sont faites régulièrement.

7. Références et liens

7.1 Méthodes/ sources d'information

  • visites de terrain, enquêtes sur le terrain
  • interviews/entretiens avec les exploitants des terres

7.2 Références des publications disponibles

Titre, auteur, année, ISBN:

Manual of Good Practices in Small Scale Irrigation in the Sahel. Experiences from Mali. Published by GIZ in 2014.

Disponible à partir d'où? Coût?

http://star-www.giz.de/starweb/giz/pub/servlet.starweb

Titre, auteur, année, ISBN:

www.iicem.net

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