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Technologies
Inactif

Pâturage selon des principes holistiques sur le ranch collectif de Il Ngwesi [Kenya]

technologies_2092 - Kenya

État complet : 86%

1. Informations générales

1.2 Coordonnées des personnes-ressources et des institutions impliquées dans l'évaluation et la documentation de la Technologie

Personne(s)-ressource(s) clé(s)

exploitant des terres:

Leresi Patrick

Il Ngwesi Group Ranch

Kenya

1.3 Conditions relatives à l'utilisation par WOCAT des données documentées

Le compilateur et la(les) personne(s) ressource(s) acceptent les conditions relatives à l'utilisation par WOCAT des données documentées:

Oui

1.4 Déclaration sur la durabilité de la Technologie décrite

Est-ce que la Technologie décrite ici pose problème par rapport à la dégradation des terres, de telle sorte qu'elle ne peut pas être déclarée comme étant une technologie de gestion durable des terres?

Non

Commentaires:

Oui et non, seul l’avenir le dira. Les principes et la gestion du pâturage (avec une gestion holistique en partie appliquée) du ranch collectif de Il Ngwesi sont réputés exemplaires parmi les ranchs collectifs de la région. Dans les processus d’évaluation depuis l’introduction des nouveaux principes et aussi dans les rapports, ils sont classifiés en tant que « bonnes pratiques ». Selon ces rapports, les sols sont en plein rétablissement. Sur le terrain, cependant, le tableau est un peu différent. De larges surfaces de terres sont encore très dégradées. Les données montrent que la végétation et le sol sont en assez mauvais état – de nombreux signes d’érosion caractérisent le terrain. Toutefois, selon les utilisateurs des terres, la couverture du sol s’est améliorée de manière significative depuis l’introduction des nouvelles technologies.

2. Description de la Technologie de GDT

2.1 Courte description de la Technologie

Définition de la Technologie:

Un ranch collectif appartenant aux Masai (traditionnellement éleveurs nomades) applique les principes de pâturage selon la « Gestion holistique ». Le principe consiste en un pâturage séparé et planifié dans les villages à la saison des pluies, puis à un regroupement et à un déplacement des animaux en saison sèche. Les terres dénudées sont restaurés grâce à la technologie du « Boma », c’est-à-dire la mise en enclos stratégique des animaux pour la nuit, ainsi que le réensemencement.

2.2 Description détaillée de la Technologie

Description:

Sur le ranch collectif Masai, la gestion de la production de bétail est une combinaison d’élevage traditionnel et de principes de gestion holistique de pâturage introduits en 2007. La production animale de Il Ngwesi sert à la subsistance et à la vente et représente une valeur culturelle très élevée. 80% des terres servent à la conservation de la faune sauvage et de son habitat. L’objectif est d’associer développement de la communauté et développement environnemental durable.La gestion holistique (GH) a initialement été conçue par Allan Savory (1988) et est diffusé par le Laikipia Wildlife Forum. Elle regroupe la prise de décision, la planification et l’élevage. Sur les terres, elle consiste à rassembler les troupeaux de manière serrée (afin qu’ils « labourent » et brisent le sol pour que les graines, les nutriments et l’eau puissent s’infiltrer) et que la végétation pousse mieux. En déplaçant les animaux en bloc d’une parcelle à l’autre, la GH vise à gérer un nombre élevé d’animaux tout en restaurant les sols dégradés. Au lieu de familles possédant et déplaçant chacune son troupeau, des troupeaux regroupés sont gérés et déplacés collectivement et surveillés par des pasteurs et des superviseurs. Ceci permet de pâturer intensivement des surfaces restreintes en laissant reposer le reste des terres, au lieu d’un pâturage extensif permanent. Mais les principes de Gestion holistique sont encore sujets à controverse. Alors que les tenants de ces principes ne limitent pas la taille des troupeaux, les adversaires voient justement la cause principale de la dégradation dans la charge trop élevée d’animaux. Les critiques abondent et les analystes de la méthode relèvent l’absence d’études évaluées par des pairs qui prouvent que la Gestion holistique donne de meilleurs résultats que les systèmes conventionnels de pâturage (Carter et al. 2014, Briske et al. 2014).Les terres du ranch collectif sont composées d’une zone habitée et d’une zone de conservation. Celle-ci est divisée en une petite zone centrale de 500 ha et une grande zone tampon de 6'000 ha. Les pasteurs peuvent faire paître les troupeaux dans cette zone tampon en saison sèche.En plus de ces deux principales zones de pâturage du ranch collectif, ils utilisent d’autres zones en dehors de leur territoire, comme des pâturages en forêt. Ils se sont établis officiellement dans l’une d’entre elles, la forêt de Mukogodo. A Ngare Ngare et sur le Mont Kenya, il s’agit plutôt d’un accord informel. Dans Il Ngwesi, les principes de GH sont appliqués très strictement dans la zone de conservation, ailleurs, en partie ou pas du tout. Lors des déplacements dans les clairières ou sur le Mont Kenya, les principes de GH sont maintenus le plus possible.Ce document décrit le système combiné de gestion du pâturage. Pendant la saison des pluies, le système de pâturage est largement traditionnel : les animaux restent dans et autour des villages, gérés individuellement par les ménages. Pendant la saison sèche, tout le bétail est regroupé et géré en un seul troupeau.Pendant la saison des pluies, le pâturage du ranch collectif de Il Ngwesi est organisé par les anciens au sein de leurs sept villages. Les principes de GH ne sont que partiellement appliqués. A la saison sèche, lorsque toute l’herbe est pâturée sur ces terres, le bétail est rassemblé et géré par quelques pasteurs et superviseurs. Le système de rotation en blocs commence. Afin de trouver de nouvelles pâtures et de l’eau, les bovins et le petit bétail sont menés dans les clairières, puis dans la zone de conservation de Il Ngwesi. Dès que les pâtures en forêt sont épuisées, ils se déplacent vers la zone de conservation. Ce mouvement commence généralement en février. Le bétail retourne ensuite aux villages en avril puis à nouveau aux forêts et dans la zone de conservation jusqu’aux prochaines pluies de novembre.Pendant le rassemblement des troupeaux, de grands bomas (enclos en kishwahili) sont construits pour la garde nocturne. Les bomas se trouvent sur du sol nu où les déjections et la destruction de la croûte par les sabots aide à réhabiliter les sols. Chaque année, les sites des bomas sont déplacés un peu selon un plan. La surface totale restaurée chaque année représente presque 1% de la zone de Il Ngwesi.

2.3 Photos de la Technologie

2.5 Pays/ région/ lieux où la Technologie a été appliquée et qui sont couverts par cette évaluation

Pays:

Kenya

Région/ Etat/ Province:

Laikipia

Autres spécifications du lieu:

Mukogodo Divison

Spécifiez la diffusion de la Technologie:
  • répartie uniformément sur une zone
Si la Technologie est uniformément répartie sur une zone, précisez la superficie couverte (en km2):

87,0

S'il n'existe pas d'informations exactes sur la superficie, indiquez les limites approximatives de la zone couverte:
  • 10-100 km2
Commentaires:

Il Ngwesi a une superficie de 87 km2. Cependant, le total des terres touchées par le bétail est de 157 km2. La technologie est également appliquée à d’autres ranchs (principalement des ranchs privés, voir la documentation relative au "Borana" voisin) dans la division de Mukogodo.

2.6 Date de mise en œuvre de la Technologie

Indiquez l'année de mise en œuvre:

2007

2.7 Introduction de la Technologie

Spécifiez comment la Technologie a été introduite: :
  • dans le cadre d'un système traditionnel (> 50 ans)
  • par le biais de projets/ d'interventions extérieures
Commentaires (type de projet, etc.) :

Approche de gestion holistique par Allan Savory. A Laikipia, elle a été introduite par Richard Hartfield, du Laikipia Wildlife Forum et financé par Laikipia Wildlife Forum (LWF), Lewa Conservancy and Northern Rangeland Trust (NRT) (environ 50% des coûts supplémentaires de IL Ngwesi depuis la mise en œuvre ont été couverts par des fonds). Des accords ont d’abord été passés avec les anciens puis la communauté a reçu une formation.

3. Classification de la Technologie de GDT

3.1 Principal(aux) objectif(s) de la Technologie

  • améliorer la production
  • réduire, prévenir, restaurer les terres dégradées
  • préserver l'écosystème
  • conserver/ améliorer la biodiversité

3.2 Type(s) actuel(s) d'utilisation des terres, là où la Technologie est appliquée

Pâturages

Pâturages

Pâturage extensif:
  • Pastoralisme de type semi-nomade
Type d'animal:
  • chameaux
  • mules et ânes
  • ovins
  • cattle, shoats
Produits et services:
  • viande
  • lait
Espèces:

mules et ânes

Nombre:

90

Espèces:

chameaux

Nombre:

100

Implantations, infrastructures

Implantations, infrastructures

  • Habitats, buildings
Remarques:

Villages, bomas, manyattas. 8'000 habitants. Lodge pour le tourisme.

Commentaires:

Principales espèces animales et principaux produits: bovins, chèvres, moutons, ânes, dromadaires. Production de viande et de lait (aussi du sang) et en tant que placement bancaire/ financier. Surtout subsistance et production locale.Bétail : 4’800 UBT ; charge : 3,3 ha/UBT (calculé pour la surface totale concernée par le bétail : 157km²) Charge sur les terres, y compris la faune sauvage : 3,3 ha/UBT (identique selon le calcul de la biomasse sauvage estimée par Georgiadis et al. 2007) Nombre d'animaux: Il Ngwesi inférieur: 4000 bovins, 20'000 chèvres/moutons, 50 ânes, 100 dromadaires Sanga: 700 bovins, 2000 chèvres/moutons, 20 ânes Mukogodo: 1500 bovins, 5000 chèvres/moutons, 20 ânes Fluctuations des effectifs (par année): -10% ventes, -5% pertes par sécheresse/maladies, -5% abattage +30% reproduction naturelle, achats et pertes s’annulent Les bœufs sont engraissés dans ranchs privés ; pendant les sécheresses, le reste du bétail peut être déplacé dans des ranchs privés (jusqu’à 3000). Faune sauvage: éléphants, antilopes/ gazelles (gérénuk, impala, gazelle de Thomson, dik-dik), lièvres, prédateurs et autres.

Nombre de période de croissance par an: 2
Pluies courtes en novembre et décembre. Longues pluies en avril et mai. Les pluies de novembre à décembre (octobre) sont généralement meilleures dans cette région. Des précipitations avec de fortes variations locales et des régimes changeants.
Densité d'élevage/ chargement: 4’800 TLU; Taux de stockage: 3.3 ha/TLU. Pression sur terres: 3.3 ha/TLU

3.4 Approvisionnement en eau

Approvisionnement en eau des terres sur lesquelles est appliquée la Technologie:
  • pluvial

3.5 Groupe de GDT auquel appartient la Technologie

  • pastoralisme et gestion des pâturages
  • Amélioration de la couverture végétale/ du sol

3.6 Mesures de GDT constituant la Technologie

modes de gestion

modes de gestion

  • M2: Changement du niveau de gestion / d'intensification
  • M4: Changement majeur dans le calendrier des activités

3.7 Principaux types de dégradation des terres traités par la Technologie

érosion hydrique des sols

érosion hydrique des sols

  • Wt: perte de la couche superficielle des sols (couche arable)/ érosion de surface
  • Wg: ravinement/ érosion en ravines
érosion éolienne des sols

érosion éolienne des sols

  • Et: perte de la couche superficielle des sols (couche arable)
dégradation physique des sols

dégradation physique des sols

  • Pc: compaction
  • Pk: scellage et encroûtement
  • Pi: imperméabilisation des sols
dégradation biologique

dégradation biologique

  • Bc: réduction de la couverture végétale
  • Bh: perte d’habitats
  • Bq: baisse de la quantité/ biomasse
  • Bs: baisse de la qualité et de la composition/ diversité des espèces
  • Bl: perte de la vie des sols
Commentaires:

Dans les prairies et les parcours, une augmentation des terres nues et des arbustes est une tendance évidente dans la région de Laikipia depuis de nombreuses années, à la fois sur des terres appartenant à la communauté et sur des ranchs privés. Les principaux problèmes écologiques identifiés (en partie) dus à la production animale sont les suivants: sol nu, faibles teneurs en carbone organique et en éléments nutritifs disponibles pour le sol, érosion du sol (scellement, encroûtement, rigoles et ravins, modèles de flux propriétés du sol, espèces indésirables et (augmentation) espèces ligneuses et envahissantes. Cependant, Il Ngwesi n'est pas affecté par l'espèce envahissante Opuntia stricta. Pour plus d'informations sur la santé des parcours, voir Herger (2018). La technologie vise à améliorer la couverture végétale du sol, réduisant ainsi la dégradation et à restaurer les terres dégradées.

3.8 Prévention, réduction de la dégradation ou réhabilitation des terres dégradées

Spécifiez l'objectif de la Technologie au regard de la dégradation des terres:
  • réduire la dégradation des terres
  • restaurer/ réhabiliter des terres sévèrement dégradées

4. Spécifications techniques, activités, intrants et coûts de mise en œuvre

4.1 Dessin technique de la Technologie

Spécifications techniques (associées au dessin technique):

Carte des pâturages de Il Ngwesi dans la division de Mukogodo Principes de pâturage -Rotations, pâturage planifié -Regroupement -Périodes de repos des pâtures -Bomas pour les zones dénudées (enclos nocturnes) Chaîne de valeur : - Reproduction naturelle/achats (ranchs & individuellement) - Pâturage - Zone habitée (en rouge, pendant la saison de pluies, jusqu’à épuisement de l’herbe, organisé par les anciens, regroupement de tous les animaux dès que le temps devient sec) - Forêt de Mukogodo / Forêt de Ngare Ndare (30% du total du bétail, le reste directement dans la zone de conservation pour pâturage) - Zone de conservation (6 parcelles) - Forêt de Mukogodo / Forêt de Ngare Ndare / Mont Kenya (la forêt de Ngare Ndare est un corridor vers le Mont Kenya, environ 40% du bétail va au Mont Kenya) - Vente aux boucheries locales, selon les besoins /NRT/Ranchs Il Ngwesi Masai a aussi commencé à acheter des terres en dehors du Ranch collectif.

Auteur:

Michael Herger

Date:

16/01/2018

4.2 Informations générales sur le calcul des intrants et des coûts

Spécifiez la manière dont les coûts et les intrants ont été calculés:
  • par entité de la Technologie
Précisez l'unité:

Bergers, traitement des animaux. Pour toute la zone touchée par le bétail (157 km2)

Indiquez la monnaie utilisée pour le calcul des coûts:
  • dollars américains
Indiquez le coût salarial moyen de la main d'œuvre par jour:

USD 2.5

4.3 Activités de mise en place/ d'établissement

Activité Calendrier des activités (saisonnier)
1. Formation des aînés et de la communauté par les chefs de projet
2. Planification du pâturage pour les animaux en bottes (bétail de tous les ménages)
3. Embauche de bergers, superviseurs, gardiens, etc.

4.4 Coûts et intrants nécessaires à la mise en place

Spécifiez les intrants Unité Quantité Coûts par unité Coût total par intrant % des coût supporté par les exploitants des terres
Main d'œuvre Frais d'établissement inconnus
Commentaires:

Les formations ont été financées par NRT, LWF et Lewa Conservancy. Pas de chiffres à ce sujet.

4.5 Activités d'entretien/ récurrentes

Activité Calendrier/ fréquence
1. Bergers, superviseurs, gardiens, etc.
2. Traitements pour animaux (vaccination, pulvérisation, injections)
3. Activités de planification
4. Boma Management (principalement mouvement de Bomas)

4.6 Coûts et intrants nécessaires aux activités d'entretien/ récurrentes (par an)

Spécifiez les intrants Unité Quantité Coûts par unité Coût total par intrant % des coût supporté par les exploitants des terres
Main d'œuvre Bergers, gardiens Personne-jours 250,0 540,0 135000,0 100,0
Main d'œuvre Superviseurs Personne-jours 3,0 720,0 2160,0 100,0
Main d'œuvre Activités de planification, gestion Personne-jours 20,0 1500,0 30000,0 100,0
Main d'œuvre Familles possédant du bétail (pour la saison des pluies, pas de salaire, moyens de subsistance) Personne-jours 8000,0 300,0 2400000,0
Matériaux de construction Boma Movement
Autre Traitements d'animaux (pulvérisation contre les tiques) Par unité de bétail 5000,0 5,0 25000,0 100,0
Autre Injections, vaccin Par unité de bétail 5000,0 3,0 15000,0 100,0
Coût total d'entretien de la Technologie 2607160,0
Coût total d'entretien de la Technologie en dollars américains (USD) 2607160,0
Si le coût n'est pas pris en charge à 100% par l'exploitant des terres, indiquez qui a financé le coût restant:

Les coûts supplémentaires globaux depuis l'introduction de la nouvelle technologie sont estimés à 20% plus élevés qu'auparavant. 50% sont couverts par un financement de projet (FLM, NRT, Lewa Conservancy).

Commentaires:

Les coûts par unité sont multipliés par jours.
Selon le responsable interrogé, le coût total n’est que de 18 000 USD (sans éleveurs). Cependant, la liste de tous les coûts entraîne des coûts totaux beaucoup plus élevés. Le coût total du traitement des animaux pour le Makurian Group Ranch est de 428 000 USD (travail de 380 000 USD, traitement des animaux de 48 000 USD, sans les familles propriétaires du bétail).
De plus, les habitants de la région (population de 8 000 habitants) participent à l'élevage et sont inclus ici dans les calculs de travail (pour 3 mois, saison humide, 10% de la population totale).
Le coût / bénéfice est actuellement négatif pour l'élevage. Le revenu dû aux ventes de bétail est estimé à environ 340 000 USD (prix du bétail en moyenne 400 USD par unité, ventes environ 500 par an, prix des chèvres et des ovins chaque 40 USD par unité, ventes environ 2 000 par an, unités abattues (par exemple utilisation de subsistance) bovins: 50, bateaux: 1'000 - chiffres détaillés disponibles (Herger 2018).

4.7 Facteurs les plus importants affectant les coûts

Décrivez les facteurs les plus importants affectant les coûts :

- Gestion d'un grand troupeau, plusieurs superviseurs sont nécessaires.
- Mouvement de bomas.
- Les familles propriétaires de bétail (bien qu'elles ne reçoivent évidemment aucun salaire): c'est à la fois leur gagne-pain et leur subsistance. Mais une fois que tout leur bétail est regroupé dans un grand troupeau, ils perdent leur source nutritionnelle (lait, sang) et leur gagne-pain (ils gardent parfois quelques unités en arrière pour cette raison).

5. Environnement naturel et humain

5.1 Climat

Précipitations annuelles
  • < 250 mm
  • 251-500 mm
  • 501-750 mm
  • 751-1000 mm
  • 1001-1500 mm
  • 1501-2000 mm
  • 2001-3000 mm
  • 3001-4000 mm
  • > 4000 mm
Spécifiez la pluviométrie moyenne annuelle (si connue), en mm:

497,00

Spécifications/ commentaires sur les précipitations:

Pluviomètre moyen au QG de Borana de 2013 à 2016 (ranch voisin). Forte variation locale (et temporelle), changement des régimes de précipitations. Il Ngwesi est généralement plus sec que Borana. Les pâturages se trouvent à différentes altitudes avec des quantités de précipitations différentes. Alors qu’Ing Ngwesi Sanga (en tant que l’un des villages) se situe à près de 1700 m.s.l. avec des précipitations similaires à Borana HQ, la zone de conservation de Il Ngwesi est à 1220 m.s.l. avec des précipitations significativement plus faibles (pas de pluviomètre). Les clairières dans la forêt de Mukgodo sont à 1850 m.s.l. et dans la forêt de Ngare Ndare à près de 2100 m.s.l. (pas de mesures de précipitations disponibles, quantités de précipitations supérieures) et hauteurs variables avec des précipitations beaucoup plus élevées sur le mont Kenya (zones non définies).

Indiquez le nom de la station météorologique de référence considérée:

Pluviomètre moyen au QG de Borana

Zone agro-climatique
  • semi-aride

5.2 Topographie

Pentes moyennes:
  • plat (0-2 %)
  • faible (3-5%)
  • modéré (6-10%)
  • onduleux (11-15%)
  • vallonné (16-30%)
  • raide (31-60%)
  • très raide (>60%)
Reliefs:
  • plateaux/ plaines
  • crêtes
  • flancs/ pentes de montagne
  • flancs/ pentes de colline
  • piémonts/ glacis (bas de pente)
  • fonds de vallée/bas-fonds
Zones altitudinales:
  • 0-100 m
  • 101-500 m
  • 501-1000 m
  • 1001-1500 m
  • 1501-2000 m
  • 2001-2500 m
  • 2501-3000 m
  • 3001-4000 m
  • > 4000 m
Indiquez si la Technologie est spécifiquement appliquée dans des:
  • non pertinent
Commentaires et précisions supplémentaires sur la topographie:

Zones de collines (par exemple, village de Sanga) et zones plates de plus basse altitude (zone de conservation).

5.3 Sols

Profondeur moyenne du sol:
  • très superficiel (0-20 cm)
  • superficiel (21-50 cm)
  • modérément profond (51-80 cm)
  • profond (81-120 cm)
  • très profond (>120 cm)
Texture du sol (de la couche arable):
  • grossier/ léger (sablonneux)
  • fin/ lourd (argile)
Texture du sol (> 20 cm sous la surface):
  • grossier/ léger (sablonneux)
  • fin/ lourd (argile)
Matière organique de la couche arable:
  • faible (<1%)
Si disponible, joignez une description complète du sol ou précisez les informations disponibles, par ex., type de sol, pH/ acidité du sol, capacité d'échange cationique, azote, salinité, etc.

Sols sableux rouges et bruns. Sols noir « à coton ». Luvisols, regosols, vertisols. COS 1.1-1.4 % pH: 6.3 Argiles: 12% Limons: 53% Sables: 35% Plus d'informations dans Herger (2018).

5.4 Disponibilité et qualité de l'eau

Profondeur estimée de l’eau dans le sol:

> 50 m

Disponibilité de l’eau de surface:

moyenne

Qualité de l’eau (non traitée):

faiblement potable (traitement nécessaire)

La salinité de l'eau est-elle un problème? :

Non

La zone est-elle inondée?

Non

Commentaires et précisions supplémentaires sur la qualité et la quantité d'eau:

Peu de sources, rivière Ngare Ndare, pas de forage. La source est le mont Kenya.

5.5 Biodiversité

Diversité des espèces:
  • moyenne
Diversité des habitats:
  • moyenne
Commentaires et précisions supplémentaires sur la biodiversité:

Acacia herbeux Terre nue jusqu'à 70% pendant la saison sèche. Perte de végétation (indigène). Espèces envahissantes à l’arrivée. Graminées dominantes: espèces d’Eragrostis, espèces de Cynadon, espèces d’Hyparrhenia, espèces de Kelenger. Arbustes dominants: Solyneum inconum, Ipomea hildebranditi, Lyceum europaeum, Barleria acuthodies. Arbres dominants: Acacia tortilis, Acacia mellifera, Acacia nilotica, Acacia etbaica, Boscia angustifolia. Liste détaillée de toutes les espèces (y compris les espèces sauvages) disponibles (voir Herger 2018).

5.6 Caractéristiques des exploitants des terres appliquant la Technologie

Sédentaire ou nomade:
  • Semi-nomade
Orientation du système de production:
  • exploitation mixte (de subsistance/ commerciale)
Revenus hors exploitation:
  • moins de 10% de tous les revenus
Niveau relatif de richesse:
  • pauvre
Individus ou groupes:
  • individu/ ménage
  • groupe/ communauté
Niveau de mécanisation:
  • travail manuel
Genre:
  • femmes
  • hommes
Age des exploitants des terres:
  • jeunes
  • personnes d'âge moyen
Indiquez toute autre caractéristique pertinente des exploitants des terres:

Peuple masaï. 8'000 Masaïs vivant à Il Ngwesi. Mode de vie traditionnel. Bétail à très haute valeur culturelle. Environ 10% sont utilisés à des fins de subsistance, 90% sont vendus pour les marchés locaux et nationaux (principalement locaux).
Très peu d'agriculture; tourisme (éco-lodge primé dans la zone de conservation); les gens commencent à se diversifier. La scolarisation des enfants revêt aujourd'hui une grande importance (par exemple, le petit stock est vendu moyennant des frais de scolarité). Les enfants et les jeunes guerriers sont traditionnellement des gardiens de troupeaux. Cependant, on commence à les embaucher et à les envoyer à l'école.
Historiquement, ils ont été "forcés" de toutes parts dans de plus petites zones d’élevage. L'avenir du pastoralisme est en cause.

5.7 Superficie moyenne des terres utilisées par les exploitants des terres appliquant la Technologie

  • < 0,5 ha
  • 0,5-1 ha
  • 1-2 ha
  • 2-5 ha
  • 5-15 ha
  • 15-50 ha
  • 50-100 ha
  • 100-500 ha
  • 500-1 000 ha
  • 1 000-10 000 ha
  • > 10 000 ha
Cette superficie est-elle considérée comme de petite, moyenne ou grande dimension (en se référant au contexte local)?
  • petite dimension
Commentaires:

S'applique pour un ménage. Les bergers, quant à eux, font du bétail sur une superficie de plus de 10 000 ha.

5.8 Propriété foncière, droits d’utilisation des terres et de l'eau

Propriété foncière:
  • communauté/ village
Droits d’utilisation des terres:
  • communautaire (organisé)
Droits d’utilisation de l’eau:
  • accès libre (non organisé)

5.9 Accès aux services et aux infrastructures

santé:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
éducation:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
assistance technique:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
emploi (par ex. hors exploitation):
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
marchés:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
énergie:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
routes et transports:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
eau potable et assainissement:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne
services financiers:
  • pauvre
  • modéré
  • bonne

6. Impacts et conclusions

6.1 Impacts sur site que la Technologie a montrés

Impacts socio-économiques

Production

production fourragère

en baisse
en augmentation

qualité des fourrages

en baisse
en augmentation

production animale

en baisse
en augmentation

gestion des terres

entravé
simplifié
Disponibilité et qualité de l'eau

disponibilité de l'eau potable

en baisse
en augmentation

disponibilité de l'eau pour l'élevage

en baisse
en augmentation
Revenus et coûts

charge de travail

en augmentation
en baisse
Commentaires/ spécifiez:

20-30% au-dessus de la normale (supervision, gardiens, déplacement de gros bomas). Auparavant, chaque ménage gérait son bétail individuellement.

Impacts socioculturels

sécurité alimentaire/ autosuffisance

réduit
amélioré

droits d'utilisation des terres/ de l'eau

détérioré
amélioré

connaissances sur la GDT/ dégradation des terres

réduit
amélioré

apaisement des conflits

détérioré
amélioré
Commentaires/ spécifiez:

Externe! Une meilleure couverture terrestre attire les envahisseurs (invasion des tribus du nord).

situation des groupes socialement et économiquement désavantagés

détérioré
amélioré
Commentaires/ spécifiez:

Les familles propriétaires d’élevage les plus pauvres sont dans une meilleure situation puisque leur bétail est également groupé avec tous les autres. Par exemple, avant qu’ils ne puissent se permettre d’emmener leurs 5 vaches vers le mont Kenya pour y faire du pâturage, leur bétail est maintenant emmené avec tous les autres - les mêmes opportunités se présentent. D'autres ménages se plaignent à ce sujet car ils ne peuvent plus décider par eux-mêmes où ils veulent amener leur bétail pour le pâturage.

Impacts écologiques

Cycle de l'eau/ ruissellement

quantité d'eau

en baisse
en augmentation
Commentaires/ spécifiez:

Moins de ruissellement, plus d'eau stockée dans le sol.

ruissellement de surface

en augmentation
en baisse

nappes phréatiques/ aquifères

en baisse
rechargé

évaporation

en augmentation
en baisse
Sols

humidité du sol

en baisse
en augmentation

couverture du sol

réduit
amélioré

perte en sol

en augmentation
en baisse

encroûtement/ battance du sol

en augmentation
réduit

compaction du sol

en augmentation
réduit

cycle/ recharge des éléments nutritifs

en baisse
en augmentation

matière organique du sol/ au dessous du sol C

en baisse
en augmentation
Biodiversité: végétale, animale

Couverture végétale

en baisse
en augmentation

diversité végétale

en baisse
en augmentation

espèces étrangères envahissantes

en augmentation
réduit
Commentaires/ spécifiez:

Il Ngwesi n'est pas affecté par la vaste invasion du cactus exotique, Opuntia stricta. Cependant, il y a d'autres espèces envahissantes comme Lantana dans la région, mais pas aussi problématique que Opuntia. Selon les utilisateurs des terres, la couverture végétale indigène s'est améliorée, ce qui réduit le nombre d'espèces envahissantes.

Réduction des risques de catastrophe et des risques climatiques

impacts de la sécheresse

en augmentation
en baisse

6.2 Impacts hors site que la Technologie a montrés

disponibilité de l'eau

en baisse
en augmentation
Commentaires/ spécifiez:

Plus stocké dans le sol. Selon les utilisateurs des terres, aucune mesure n'a été réalisée.

Précisez l'évaluation des impacts extérieurs (sous forme de mesures):

Selon Patrick Leseri, responsable de la conservation, tous les impacts répertoriés sont perçus par les utilisateurs des terres. À son avis, la couverture végétale a été améliorée grâce aux nouvelles technologies. Les activités de planification ont considérablement augmenté et, partant, les conditions socio-économiques et écologiques se sont également améliorées. Les résultats d'une évaluation de la santé des pâturages (uniquement des conditions écologiques) montrent en revanche des conditions écologiques partiellement fortement dégradées (sol et végétation médiocres, caractéristiques d'érosion, impossibilité de produire des herbes annuelles après les pluies, etc.) (Herger 2018). Les utilisateurs des terres et les experts sont conscients que les conditions écologiques de ce ranch de groupe sont encore loin d'être optimales, mais constatent de bons progrès, une gestion exemplaire ainsi que des conditions légèrement meilleures que celles des autres ranchs de groupe.

6.3 Exposition et sensibilité de la Technologie aux changements progressifs et aux évènements extrêmes/catastrophes liés au climat (telles que perçues par les exploitants des terres)

Changements climatiques progressifs

Changements climatiques progressifs
Saison Augmentation ou diminution Comment la Technologie fait-elle face à cela?
autre changement climatique progressif Variation plus importante des précipitations saisonnières, intensité accrue des événements pluvieux, modification des régimes de précipitations en général (voir Schmocker 2013 et Imfeld 2016). augmente bien

Extrêmes climatiques (catastrophes)

Catastrophes climatiques
Comment la Technologie fait-elle face à cela?
canicule bien
Commentaires:

L'amélioration de la santé des parcours, une meilleure organisation interne et les coopérations les rendent moins vulnérables aux impacts du changement climatique.

6.4 Analyse coûts-bénéfices

Quels sont les bénéfices comparativement aux coûts de mise en place (du point de vue des exploitants des terres)?
Rentabilité à court terme:

légèrement négative

Rentabilité à long terme:

positive

Quels sont les bénéfices comparativement aux coûts d'entretien récurrents (du point de vue des exploitants des terres)?
Rentabilité à court terme:

positive

Rentabilité à long terme:

positive

6.5 Adoption de la Technologie

  • 11-50%
Si disponible, quantifiez (nombre de ménages et/ou superficie couverte):

50%

De tous ceux qui ont adopté la Technologie, combien d'entre eux l'ont fait spontanément, à savoir sans recevoir aucune incitation matérielle, ou aucune rémunération? :
  • 0-10%

6.6 Adaptation

La Technologie a-t-elle été récemment modifiée pour s'adapter à l'évolution des conditions?

Oui

Si oui, indiquez à quel changement la Technologie s'est adaptée:
  • changements/ extrêmes climatiques
Spécifiez l'adaptation de la Technologie (conception, matériaux/ espèces, etc.):

Les Masaï ont modifié la composition de leur cheptel pour devenir propriétaires de plus de petits animaux (chèvres et moutons) que de bovins. Les chèvres sont tolérantes à la sécheresse et, en tant que navigatrices, elles n'ont pas besoin d'herbe. En outre, elles peuvent être transformées en argent beaucoup plus rapidement qu'une vache en cas de besoin et en raison de leur cycle de reproduction plus rapide. Ils peuvent également récupérer leur nombre plus rapidement après les pertes de bétail dues à la sécheresse.

6.7 Points forts/ avantages/ possibilités de la Technologie

Points forts/ avantages/ possibilités du point de vue de l'exploitant des terres
Utilisation appropriée des pâturages - utilisation contrôlée / pâturage.
Récupération des terres (plus de couverture, plus d'eau, plus de fourrage, moins d'érosion).
Capacité de charge accrue.
Le savoir traditionnel est encore utilisé.
Plus de dialogue dans la communauté: rassemble tous les membres de la communauté - ils ont un point commun - tout le monde a le même intérêt.
Améliorer les races est plus facile (parce que tous sont regroupés).
Vaccination facile de tout le bétail à la fois.
Approuver le style de vie culturel des Masaï: plus le nombre de têtes de bétail est élevé, mieux ce sera pour la terre.
Mieux pour les membres défavorisés de la communauté: par exemple pour ceux qui ne pouvaient pas se permettre de transporter leur bétail par eux-mêmes au Mont Kenya.
Points forts/ avantages/ possibilités du point de vue du compilateur ou d'une autre personne ressource clé
Les avantages énumérés de Patrick Leseri, l'utilisateur de la terre, sont pour la plupart partagés avec la vue du compilateur. Une meilleure planification de la production animale avec des périodes de pâturage et de repos prolongées, un dialogue amélioré au sein de la communauté et les avantages nommés d'un grand troupeau (comme une vaccination facile, etc.) sont des avantages importants. En ce qui concerne les principes de gestion holistique (HM), des incertitudes demeurent quant à la récupération des terres. D'un côté, il est généralement discutable d'affirmer, comme dans HM: «plus il y a d'animaux, mieux c'est (s'ils sont gérés correctement, ils peuvent même récupérer des terres dégradées), ce qui semble dangereux dans les zones où le cheptel est élevé et les cultures importantes. valeur de l'élevage - sans preuve scientifique des principes dans des conditions écologiques similaires. Nous avons été témoins de l'état plutôt médiocre de la terre, et la bonne terre tant vantée était difficile à trouver. Des descriptions favorables pourraient également être liées au financement du projet. Les résultats d'une évaluation de l'état de santé des pâturages montrent que les conditions écologiques sont (en partie) fortement dégradées (sol nu, sol et végétation pauvres, caractéristiques d'érosion, en partie une incapacité à produire des graminées vivaces et annuelles après les pluies, etc.) (voir Herger 2018). Cependant, une évaluation du changement dans le temps est impossible à évaluer. Une surveillance supplémentaire est nécessaire. Les utilisateurs des terres et les experts sont conscients que les conditions écologiques de ce ranch de groupe sont encore loin d'être optimales, mais constatent de bons progrès, une gestion exemplaire ainsi que des conditions légèrement meilleures que celles des autres ranchs de groupe. Cependant, les efforts pour une bonne gestion et un sens de la communauté n'étaient pas difficiles à remarquer.

6.8 Faiblesses/ inconvénients/ risques de la Technologie et moyens de les surmonter

Faiblesses/ inconvénients/ risques du point de vue de l’exploitant des terres Comment peuvent-ils être surmontés?
Coûts plus élevés. Supérieur à 20% de plus que les coûts normaux. Northern Rangeland Trust (NRT), Laikipia Wildlife Forum et Lewa Conservancy sont les principaux bailleurs de fonds pour l’application des principes de gestion balnéaire. Depuis 2007, ils ont couvert environ 50% de tous les coûts.
Plus de travail intensif. 20-30% au-dessus de la normale (supervision, gardiens, déplacement de gros bomas).
Défi de réunir les gens (et leur bétail) et de s’entendre sur une gestion commune.
Certaines familles préfèrent encore gérer leur bétail et prendre leurs propres décisions. Il n'y a plus de décisions individuelles: les principes s'appliquent à tout le monde.
La reproduction peut également être un problème - ceux qui possèdent un bon matériel génétique (meilleur bétail) peuvent perdre et ceux qui ont un poids faible peuvent gagner en se mélangeant.
Conflits entre animaux; les taureaux se battent beaucoup. Pas de séparation des génisses, des vaches, des bouvillons et des taureaux.
La gestion d'un grand nombre de grands troupeaux est un défi.
Les maladies se transmettent facilement.
Une fois que le bétail est rassemblé dans de grands troupeaux, les familles individuelles perdent leur base nutritionnelle (lait, sang). Cependant, certains conservent également quelques unités d'élevage.
Parfois, les arbres sont coupés pour les bomas.

7. Références et liens

7.1 Méthodes/ sources d'information

  • visites de terrain, enquêtes sur le terrain

4 visites de terrain avec "évaluation de l'état de santé des pâturages" dans différentes parties de Il Ngwesi (principalement dans le village de Sanga), où j'ai pu voir l'état du terrain, ainsi que plusieurs autres visites de la région.

  • interviews/entretiens avec les exploitants des terres

Plusieurs réunions avec le coordonnateur des pâturages, le responsable de la conservation, le chef, les anciens et d'autres personnes ressources d'Il Ngwesi pendant six mois.

  • interviews/ entretiens avec les spécialistes/ experts de GDT

Truman Young
Dan Rubenstein
Dino Martins
John Letai
Samali Letai
Peter Hetz
Dominic Maringa
Joseph Putunoi
Patrick Ekodere

  • compilation à partir de rapports et d'autres documents existants

Articles scientifiques, rapports de la LWF, etc.

Quand les données ont-elles été compilées (sur le terrain)?

22/01/2017

7.2 Références des publications disponibles

Titre, auteur, année, ISBN:

Herger, M.B. (2018). Environmental Impacts of Red Meat Production. MSc Thesis. University of Bern.

Disponible à partir d'où? Coût?

Université de Berne

Titre, auteur, année, ISBN:

Modeling Seasonal and Annual Precipitation using long-term Climate Records and Topography. Master’s Thesis. Noemi Imfeld (2016).

Disponible à partir d'où? Coût?

Université de Berne

Titre, auteur, année, ISBN:

Savory, A (1988). Holistic Resource Management. Gilmour Publishing, Harare, Zimbabwe

Disponible à partir d'où? Coût?

En ligne

Titre, auteur, année, ISBN:

•Carter, J., Jones, A., O’Brien, M., Ratner, J., Wuerthner, G. (2014). Holistic Management: Misinformation on the Science of Grazed Ecosystems.

Disponible à partir d'où? Coût?

International Journal of Biodiversity.

Titre, auteur, année, ISBN:

•Briske, D.D., Ash, A.J., Derner, J.D., Huntsinger, L. (2014). Commentary: A critical assessment of the policy endorsement for holistic management. Agricultural Systems 125:50-53.

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