Brève description de la meilleure pratique
Le projet s’articule autour de deux composantes : une composante « agroécologie appliquée » dont l’objectif est la mise en valeur de pratiques agricoles performantes sur les principes de l’agriculture écologique et une composante « valorisation des productions agricoles » dont l’objectif est la création de valeur ajoutée pour l’agriculteur sur les productions oasiennes.
L'objectif étant d'allier durabilité des pratiques et rentabilité économique.
Site
Province de Tata et d'Errachidia. Plus spécifiquement les villages de Foum Zguid, Afra, Aglaguel, Akka et Icht puis Goulmima, Tinejdad et Jorf.|
Brève description de l’environnement naturel du site
Zones allant de l'aride (Tata) soit environ 50 mm de pluie par an, au semi-aride (Tafilalet) à environ 150 mm.|
Les sols vont se différencier en fonction des oasis. De manière général ils comportent peu de matière organique qui se dégrade très rapidement sous l'effet de la chaleur et de l'irrigation.
Les oasis de la province de Tata sont situées au pied du Jbel Bani et ceux de
Conditions socio-économiques dominantes des personnes vivant sur ou à proximité du site
Les provinces du sud dont fait parti Tata sont avaient l'un des IDH le plus bas du Maroc. La tendance s'inverse depuis peu du au fort investissement de l'Etat marocain. De manière général on parle au Maroc de rural pauvre.
De manière générale, propriété privée au sein de l'oasis et Terres collectives sur les zones de bours, cultures en sec en opposition aux surfaces irriguées. Les cultures en zones de bours constituent généralement un compléments agricole. Il faut également prendre en compte la notion de droits d'eau, indépendants de la propriété foncière, pour les zones encore soumises à une gestion collective de l'eau.|
La tendance est à la diversification des activités non agricoles. Les phénomènes d'émigration et d'urbanisation ayant fortement marqué la zone.
Sur la base de quel critère/indicateur(s) (sans relation avec la stratégie) la pratique proposée et technologie correspondante ont-elles été considérées comme « meilleures »?
La pratique se base sur l'expérience d'agriculteurs maghrébins et français qui sont d'ailleurs les formateurs auprès des populations bénéficiaires.