Barrages avec digues en terre [Mali]
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- Mise à jour :
- Compilateur : Nina Lauterburg
- Rédacteur : –
- Examinateurs : Deborah Niggli, Alexandra Gavilano
Barrages avec digues en terre (French)
technologies_1631 - Mali
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Développer tout Réduire tout1. Informations générales
1.2 Coordonnées des personnes-ressources et des institutions impliquées dans l'évaluation et la documentation de la Technologie
Spécialiste GDT:
Dembele Célestin
Helvetas Swiss Intercooperation
Mali
Spécialiste GDT:
Doumbia Moussa
ADEPE MALI
Mali
Nom du projet qui a facilité la documentation/ l'évaluation de la Technologie (si pertinent)
Manual of Good Practices in Small Scale Irrigation in the Sahel (GIZ )Nom du ou des institutions qui ont facilité la documentation/ l'évaluation de la Technologie (si pertinent)
Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) GmbH (GIZ) - Allemagne1.3 Conditions relatives à l'utilisation par WOCAT des données documentées
Le compilateur et la(les) personne(s) ressource(s) acceptent les conditions relatives à l'utilisation par WOCAT des données documentées:
Oui
1.4 Déclaration sur la durabilité de la Technologie décrite
Est-ce que la Technologie décrite ici pose problème par rapport à la dégradation des terres, de telle sorte qu'elle ne peut pas être déclarée comme étant une technologie de gestion durable des terres?
Non
2. Description de la Technologie de GDT
2.1 Courte description de la Technologie
Définition de la Technologie:
Les barrages-digues sont construits pour retenir l’eau de pluie sans pour autant empêcher totalement l’écoulement de l’eau. Ils permettent d’assurer l’irrigation d’une partie de la plaine.
2.2 Description détaillée de la Technologie
Description:
L’aménagement des bas-fonds en barrage-digue en terre est constitué des éléments suivants: une digue en terre compacte sur une longueur de 100 à 450 m, un déversoir latéral maçonné de moellons ou en béton cyclopéen de 40 à 75 m, lié à la digue par des bajoyers. L’aval du déversoir est en pierres libres. La hauteur de la digue peut atteindre 5 m avec une largeur en crête de 4 m. Une mare surcreusée en amont de la digue jusqu’à 3 à 4 m de profondeur permet de stocker l’eau pendant toute la saison sèche en vue d’assurer l’abreuvement, le maraîchage et la pisciculture.
Les barrages-digues sont construits pour retenir l’eau de pluie sans pour autant empêcher totalement l’écoulement de l’eau. Ils permettent d’assurer l’irrigation d’une partie de la plaine, de conserver l’eau dans la cuvette après l’arrêt des pluies pendant plusieurs mois pour l’abreuvement et les cultures de contre-saison et favorisent la remontée du niveau de la nappe phréatique permettant ainsi d’accéder plus facilement à l’eau des puits (1 à 5 m de profondeur). Ces barrages sont utilisés en submersion contrôlée et / ou libre. La côte de la digue est supérieure à celle du déversoir latéral avec un décalage
d’environ 1m. Quand la lame d’eau atteint le niveau (la côte) du déversoir latéral, l’eau coule sur la partie déversante et continue dans le lit normal de la rivière en aval. Les activités rizicoles de saison sont pratiquées aussi bien en amont qu’en aval de la digue. Pour la frange en amont à proximité du lac, il est conseillé d’utiliser des variétés de riz flottant ou supportant l’inondation prolongée. Le semi de ce type de riz doit d’ailleurs intervenir avant que le lac ne soit rempli d’eau.
En fin de saison, l’eau reste dans le lac pour l’abreuvement et pour la pêche. Les activités de maraîchage se poursuivent tout au long de la rivière à l’aide des puits maraîchers creusés (pu- isards de 2 à 6m de profondeur).
Au Mali, il existe une quinzaine d’ouvrages dans les cercles de Sikasso, Kadiolo, Bougouni et Yanfolila sur plus de 1 000 ha au profit direct de 1 500 familles rurales. Dans ces zones, plus de 60 % des riziculteurs sont des femmes. Plus de 100 000 têtes de bétail s’abreuvent chaque année auprès des installations. La très grande quantité d’eau stockée améliore considérablement le potentiel de superficies utilisables pour les activités de maraîchage et d’arboriculture.
Population locale formule le besoin et négocie avec la commune pour la programmation des investissements ; elle identifie les règles d’accès et met en place les coopératives des exploitants et les organes de gestion. La Commune planifie l’investissement et assure la maîtrise d’ouvrage du projet ; elle délègue la gestion aux usagers, valide les règles d’exploitation et veille à leur application correcte. Bureaux d’études : ils réalisent les études socio-économiques, environnementales et techniques (conception des ouvrages, plans, maquettes), élaborent les DAO, appuient la procédure de sélection des entreprises, suivent et contrôlent les travaux. Les Services techniques : ils veillent à l’application des normes techniques et environnementales, participent à la bonne exécution financière (perception, contrôle financier, délégué marché public). Les entreprises de travaux : assurent la réalisation physique. Le projet : formation (aménagement, ingénierie sociale, études impliquant les paysans, etc.) et appui-conseil (structuration des usagers, formulation et validation des règles, plan d’aménagement de la zone, plan de valorisation et développement des chaînes de valeur, sélection des variétés adaptées, procédures de délégation de gestion, procédures de sécurisation foncière, etc.) ; cofinancement.
Les usagers sont repartis en organes de gestion et d’entretien et leurs responsabilités respectives clairement définies avant que les réceptions (provisoire et finale) ne mettent fin à cette phase.
Ce type d’ouvrage est efficace dans les zones à bonne pluviométrie et pour les bas-fonds dont la nappe phréatique n’est pas très profonde. Il est important de sélectionner des bas-fonds permettant de stocker un volume d’eau important (cuvettes topographiques). Ce type d’ouvrage correspond mieux aux zones du sud du Mali avec 1 100 à 1 200 mm de précipitation/an.
2.3 Photos de la Technologie
2.5 Pays/ région/ lieux où la Technologie a été appliquée et qui sont couverts par cette évaluation
Pays:
Mali
Région/ Etat/ Province:
Mali
Autres spécifications du lieu:
Kadiolo, Sikasso, Bougouni, Yanfolila
Spécifiez la diffusion de la Technologie:
- répartie uniformément sur une zone
Si la Technologie est uniformément répartie sur une zone, précisez la superficie couverte (en km2):
10,0
Commentaires:
Total area covered by the SLM Technology is 10 km2.
Région de Sikasso, dans une quinzaine de communes des cercles de Kadiolo, Sikasso, Bougouni, Yanfolila. Sur plus de 1 000 ha.
2.6 Date de mise en œuvre de la Technologie
Si l'année précise est inconnue, indiquez la date approximative: :
- il y a entre 10-50 ans
2.7 Introduction de la Technologie
Spécifiez comment la Technologie a été introduite: :
- par le biais de projets/ d'interventions extérieures
Commentaires (type de projet, etc.) :
Depuis 2003, par HELVETAS Swiss Intercooperation
3. Classification de la Technologie de GDT
3.1 Principal(aux) objectif(s) de la Technologie
- améliorer la production
- réduire, prévenir, restaurer les terres dégradées
3.2 Type(s) actuel(s) d'utilisation des terres, là où la Technologie est appliquée
Les divers types d'utilisation des terres au sein du même unité de terrain: :
Oui
Précisez l'utilisation mixte des terres (cultures/ pâturages/ arbres):
- Agropastoralisme (y compris les systèmes culture-élevage intégrés)
Terres cultivées
- Cultures annuelles
Nombre de période de croissance par an: :
- 1
Précisez:
120 jours, Août-Novembre
Pâturages
Voies d'eau, plans d'eau, zones humides
- Etangs, barrages, retenues d'eau
Commentaires:
Problèmes: aridification, perte de l'eau
Densité d'élevage/ chargement: 1-10 LU /km2
3.4 Approvisionnement en eau
Approvisionnement en eau des terres sur lesquelles est appliquée la Technologie:
- mixte: pluvial-irrigué
3.5 Groupe de GDT auquel appartient la Technologie
- gestion de l'irrigation (incl. l'approvisionnement en eau, le drainage)
- dérivation et drainage de l'eau
- gestion des eaux de surface (sources, rivières, lacs, mers)
3.6 Mesures de GDT constituant la Technologie
structures physiques
- S5: Barrages/retenues, micro-bassins, étangs
3.7 Principaux types de dégradation des terres traités par la Technologie
dégradation biologique
- Bc: réduction de la couverture végétale
dégradation hydrique
- Ha: aridification
- Hs: changement de la quantité d’eau de surface
- Hg: changement du niveau des nappes phréatiques (eaux souterraines) et des aquifères
Commentaires:
Main causes of degradation: sur–détournement / retrait excessif de l’eau (pour l’irrigation, l’industrie, etc.), sécheresses
3.8 Prévention, réduction de la dégradation ou réhabilitation des terres dégradées
Spécifiez l'objectif de la Technologie au regard de la dégradation des terres:
- réduire la dégradation des terres
4. Spécifications techniques, activités, intrants et coûts de mise en œuvre
4.1 Dessin technique de la Technologie
Spécifications techniques (associées au dessin technique):
Technical knowledge required for field staff / advisors: fort
Technical knowledge required for land users: faible
Main technical functions: augmentation du niveau / recharge de la nappe phréatique, récupération de l’eau / augmentation des réserves d’eau
Secondary technical functions: augmentation de l'infiltration
Spillway
Length of ditches/pits/dams (m): 40-75
Dam/ pan/ pond
Depth of ditches/pits/dams (m): 3-4
Wall/ barrier
Depth of ditches/pits/dams (m): 5
Width of ditches/pits/dams (m): 4
Length of ditches/pits/dams (m): 100-450
Structural measure: spillway stilling basin of loose stones
4.2 Informations générales sur le calcul des intrants et des coûts
autre/ monnaie nationale (précisez):
CFA Franc
Indiquez le taux de change des USD en devise locale, le cas échéant (p.ex. 1 USD = 79.9 réal brésilien): 1 USD = :
512,0
4.3 Activités de mise en place/ d'établissement
Activité | Calendrier des activités (saisonnier) | |
---|---|---|
1. | Population locale : elle formule le besoin et négocie avec la commune pour la programmation des investissements ; elle identifie les règles d’accès et met en place les coopératives des exploitants et les organes de gestion | |
2. | Entreprises de travaux : assurent la réalisation physique |
4.5 Activités d'entretien/ récurrentes
Activité | Calendrier/ fréquence | |
---|---|---|
1. | entretien du barrage-digue |
4.7 Facteurs les plus importants affectant les coûts
Décrivez les facteurs les plus importants affectant les coûts :
Le coût de réalisation se situe autour de 40 millions FCFA (77838 Dollars) pour 10 à 80 ha (0,5 à 4 millions FCFA par hectare (972-7780 Dollars)).
5. Environnement naturel et humain
5.1 Climat
Précipitations annuelles
- < 250 mm
- 251-500 mm
- 501-750 mm
- 751-1000 mm
- 1001-1500 mm
- 1501-2000 mm
- 2001-3000 mm
- 3001-4000 mm
- > 4000 mm
Zone agro-climatique
- semi-aride
Thermal climate class: tropics
5.2 Topographie
Pentes moyennes:
- plat (0-2 %)
- faible (3-5%)
- modéré (6-10%)
- onduleux (11-15%)
- vallonné (16-30%)
- raide (31-60%)
- très raide (>60%)
Reliefs:
- plateaux/ plaines
- crêtes
- flancs/ pentes de montagne
- flancs/ pentes de colline
- piémonts/ glacis (bas de pente)
- fonds de vallée/bas-fonds
Zones altitudinales:
- 0-100 m
- 101-500 m
- 501-1000 m
- 1001-1500 m
- 1501-2000 m
- 2001-2500 m
- 2501-3000 m
- 3001-4000 m
- > 4000 m
5.3 Sols
Profondeur moyenne du sol:
- très superficiel (0-20 cm)
- superficiel (21-50 cm)
- modérément profond (51-80 cm)
- profond (81-120 cm)
- très profond (>120 cm)
Texture du sol (de la couche arable):
- moyen (limoneux)
- fin/ lourd (argile)
Matière organique de la couche arable:
- moyen (1-3%)
- faible (<1%)
5.4 Disponibilité et qualité de l'eau
Profondeur estimée de l’eau dans le sol:
5-50 m
Disponibilité de l’eau de surface:
moyenne
Qualité de l’eau (non traitée):
uniquement pour usage agricole (irrigation)
5.5 Biodiversité
Diversité des espèces:
- moyenne
5.6 Caractéristiques des exploitants des terres appliquant la Technologie
Orientation du système de production:
- exploitation mixte (de subsistance/ commerciale)
Revenus hors exploitation:
- 10-50% de tous les revenus
Niveau relatif de richesse:
- pauvre
- moyen
Niveau de mécanisation:
- travail manuel
Genre:
- hommes
Indiquez toute autre caractéristique pertinente des exploitants des terres:
Population density: < 10 persons/km2
Annual population growth: 2% - 3%
10% of the land users are rich.
50% of the land users are average wealthy.
30% of the land users are poor.
10% of the land users are very poor.
5.7 Superficie moyenne des terres utilisées par les exploitants des terres appliquant la Technologie
- < 0,5 ha
- 0,5-1 ha
- 1-2 ha
- 2-5 ha
- 5-15 ha
- 15-50 ha
- 50-100 ha
- 100-500 ha
- 500-1 000 ha
- 1 000-10 000 ha
- > 10 000 ha
Cette superficie est-elle considérée comme de petite, moyenne ou grande dimension (en se référant au contexte local)?
- petite dimension
5.8 Propriété foncière, droits d’utilisation des terres et de l'eau
Commentaires:
Les terres irriguées sont allouées par le chef
5.9 Accès aux services et aux infrastructures
santé:
- pauvre
- modéré
- bonne
éducation:
- pauvre
- modéré
- bonne
assistance technique:
- pauvre
- modéré
- bonne
emploi (par ex. hors exploitation):
- pauvre
- modéré
- bonne
marchés:
- pauvre
- modéré
- bonne
énergie:
- pauvre
- modéré
- bonne
routes et transports:
- pauvre
- modéré
- bonne
eau potable et assainissement:
- pauvre
- modéré
- bonne
services financiers:
- pauvre
- modéré
- bonne
6. Impacts et conclusions
6.1 Impacts sur site que la Technologie a montrés
Impacts socio-économiques
Production
production agricole
production animale
risque d'échec de la production
surface de production
Revenus et coûts
revenus agricoles
Impacts socioculturels
sécurité alimentaire/ autosuffisance
apaisement des conflits
contribution pour le bien-être
Commentaires/ spécifiez:
Au Mali, il existe une quinzaine d’ouvrages dans les cercles de Sikasso, Kadiolo, Bougouni et Yanfolila sur plus de 1 000 ha au profit direct de 1 500 familles rurales. Dans ces zones, plus de 60 % des riziculteurs sont des femmes. Plus de 100 000 têtes de bétail s’abreuvent chaque année auprès des installations. La très grande quantité d’eau stockée améliore considérablement le potentiel de superficies utilisables pour les activités de maraîchage et d’arboriculture.
Impacts écologiques
Cycle de l'eau/ ruissellement
récolte/ collecte de l'eau
nappes phréatiques/ aquifères
6.2 Impacts hors site que la Technologie a montrés
flux des cours d'eau fiables et stables en saison sèche
inondations en aval
sédiments (indésirables) transportés par le vent
6.3 Exposition et sensibilité de la Technologie aux changements progressifs et aux évènements extrêmes/catastrophes liés au climat (telles que perçues par les exploitants des terres)
Changements climatiques progressifs
Changements climatiques progressifs
Saison | Augmentation ou diminution | Comment la Technologie fait-elle face à cela? | |
---|---|---|---|
températures annuelles | augmente | bien |
Extrêmes climatiques (catastrophes)
Catastrophes météorologiques
Comment la Technologie fait-elle face à cela? | |
---|---|
pluie torrentielle locale | bien |
tempête de vent locale | bien |
Catastrophes climatiques
Comment la Technologie fait-elle face à cela? | |
---|---|
sécheresse | bien |
Catastrophes hydrologiques
Comment la Technologie fait-elle face à cela? | |
---|---|
inondation générale (rivière) | bien |
Autres conséquences liées au climat
Autres conséquences liées au climat
Comment la Technologie fait-elle face à cela? | |
---|---|
réduction de la période de croissance | bien |
6.4 Analyse coûts-bénéfices
Quels sont les bénéfices comparativement aux coûts de mise en place (du point de vue des exploitants des terres)?
Rentabilité à court terme:
positive
Rentabilité à long terme:
très positive
Quels sont les bénéfices comparativement aux coûts d'entretien récurrents (du point de vue des exploitants des terres)?
Rentabilité à court terme:
très positive
Rentabilité à long terme:
très positive
6.5 Adoption de la Technologie
Commentaires:
Au Mali, il existe une quinzaine d’ouvrages dans les cercles de Sikasso, Kadiolo, Bougouni et Yanfolila sur plus de 1 000 ha au profit direct de 1 500 familles rurales. La technique est déjà maîtrisée par certaines entreprises locales. Aucune digue n’a cédé pendant ces 8 dernières années.
6.7 Points forts/ avantages/ possibilités de la Technologie
Points forts/ avantages/ possibilités du point de vue de l'exploitant des terres |
---|
Des revenus plus importants ont été générés au niveau de la communauté |
Les travaux ne sont pas d’une grande complexité technique et les coûts sont raisonnables. |
Points forts/ avantages/ possibilités du point de vue du compilateur ou d'une autre personne ressource clé |
---|
L’aménagement a permis la réhabilitation et l’extension des superficies irrigables. l’intensification agricole est possible pendant toute l’année avec plusieurs récoltes. Les rendements agricoles ont été multipliés par 2, voir 3, grâce à la disponibilité de l’eau et l’accompagnement technique continu à la fin de la réalisation. Des productions maraîchères à grande valeur ajoutée ont été réalisées. |
La profondeur de la nappe phréatique a été réduite et devient parfois affleurante ; les puits ne tarissent plus dans le bassin du marigot. |
L’abreuvement du bétail ne présente pas de difficultés et les zones de pâturages du bassin versant sont plus larges grâce au barrage. Les animaux transhumants séjournent plus longtemps sur place et produisent du fumier. De plus, des taxes sont perçues sur l’abreuvement des animaux. |
Les poissons sont revenus ainsi que les caïmans qui avaient disparu du village. Les volumes de pêche de poissons et de commercialisation ont été multipliés par 5. |
une plus grande biodiversité et une végétation plus importante ont été observées aux alentours des aménagements |
6.8 Faiblesses/ inconvénients/ risques de la Technologie et moyens de les surmonter
Faiblesses/ inconvénients/ risques du point de vue du compilateur ou d'une autre personne ressource clé | Comment peuvent-ils être surmontés? |
---|---|
La réalisation nécessite l’intervention de bulldozers et de compacteurs, équipement qui n’est pas toujours disponible au niveau des entreprises locales. | L’accompagnement des mécanismes de régulation et d’arbitrage de ces intérêts est essentiel pendant le processus. |
La demande initiale d’aménagement est parfois formulée par un groupe d’usagers spécifique sans tenir compte des multiples fonctions de l’ouvrage : élevage autochtone, élevage transhumant, riziculture, arboriculture, maraîchage, pêche, briques, etc. |
7. Références et liens
7.1 Méthodes/ sources d'information
- visites de terrain, enquêtes sur le terrain
- interviews/entretiens avec les exploitants des terres
Quand les données ont-elles été compilées (sur le terrain)?
01/07/2012
7.2 Références des publications disponibles
Titre, auteur, année, ISBN:
Manual of Good Practices in Small Scale Irrigation in the Sahel. Experiences from Mali. Published by GIZ in 2014.
Disponible à partir d'où? Coût?
http://star-www.giz.de/starweb/giz/pub/servlet.starweb
Titre, auteur, année, ISBN:
Intercooperation, Sahel Delegation (2008): Les aménagements de bas-fonds dans le bassin cotonnier de Sikasso. Expérience du programme Jékasy. [Developing lowland areas in the Sikasso cotton-growing basin. The Jékasy programme’s experience.] Intercooperation, Sahel Delegation: Capitalisation des experiences du programme Jékasy en gestion des ressources naturelles et aménagements des bas-fonds. [Capitalising on the experiences of the Jékasy programme in managing natural resources and lowland schemes.] Rapport Collecte de données sur la valorisation des ouvrages réalisés dans le Pôle de Bougouni sur le financement APEL [Data collection report on developing the value of APEL-funded schemes carried out in the Bougouni Hub] – Bougouni, April 2013
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